LA VIE PARISIENNE ET LA PATINE DE L’ORDINAIRE

La Cinémathèque française, Paris, toujours confiné

Depuis le début du confinement, des artistes du monde entier ont envoyé des cartes postales, des bouteilles à la mer, des films brefs comme un message, des films courts, conçus et fabriqués avec les moyens du bord, avec trois fois rien.

Après Jacky Raynal, La vie parisienne, le 2ème film d’un membre de l’association sur la page de la Cinémathèque française: La patine de l’ordinaire de Joachim Gliem

Lettres de cinéma publiées par la cinémathèque francaise

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